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Les membres INTEMPORARE sont invités à rejoindre des rendez-vous culturels européens incontournables, de la scène musicale aux foires d’art contemporain en passant par les rencontres architecturales, photographiques et festivals de cinéma. La musique, comme art alographique, passe par l'œuvre musicale. Objet de perception esthétique, l'œuvre est certes d'essence idéale, mais son existence hétéronome se concrétise par son exécution devant un public, ou par son enregistrement y compris sa numérisation. C’est Emmanuel Kant qui, au 18ème siècle, introduit le terme que l'on a indistinctement traduit en français par "arts plastiques", recouvrant, entre autres, la sculpture, l'architecture et la peinture. Aujourd'hui on y ajoute les œuvres explorant les anciens et nouveaux médias. Catherine Millet, fondatrice de la revue Art press, et engagée dans la défense de l'art contemporain depuis des décennies nous livre une définition paradigmatique plus approfondie par la multiplicité des techniques et des supports et cela d'autant plus que se mêlent parfois des créations qui ne semblent pas appartenir à la catégorie de l'art. De toute manière, puisque l'art, aujourd'hui, ne se nourrit plus de lui-même, il s'empare de son époque, du cinéma, comme on vient de le voir, mais aussi de la bande dessinée, de la télévision, et il peut aussi puiser son inspiration dans les jeux vidéo ou dans Google Earth. Dans ce cas, il s'agit non seulement de récupérer des techniques, mais surtout de comprendre les enjeux : comment se modifie en profondeur le rapport de l'individu avec le monde. Le domaine de l'art ne saurait être extensible à l'infini. Il arrivera un moment où, passé l'excitation de la découverte, il faudra être plus sélectif. Dans le domaine de l’architecture, replongeons nous dans les "Dix livres de l'architecture" de Vitruve, qui comprend les modes d’édification de toutes les sortes de bâtiments civils ou religieux, les ponts, les aqueducs, les ports, ainsi que les villes. Pour les arts de la scène, trois modes d'expression artistique s’imposent: le théâtre, la danse et l'opéra. C'est en effet d'abord à l'époque grecque antique qu'apparaît le Theatron. Le terme désigne alors l'hémicycle destiné aux spectateurs. Ce n'est qu'après la période du théâtre classique que le terme devient par antonomase le texte qu'il soit lu ou joué. Quant à la danse, celle dite classique a été consacrée avec les Ballets russes de Serge de Diaghilev et ensuite, avec la naissance du style néo-classique d'un Serge Lifar en France. Après la Seconde Guerre mondiale naît la danse dite contemporaine, héritière de Merce Cunningham, qui prend plus largement son essor à la fin des années 1970 pour se développer jusqu'à aujourd'hui pour rejoindre la performance. Concernant l'opéra, cet art de la scène est né en Italie à Florence au 17ème siècle. Parmi les ancêtres de l'opéra figurent les madrigaux italiens, qui mirent en musique des situations avec des dialogues mais sans jeu de scène. Aux prémices de la composition musicale de ce qui deviendra l'opéra on utilise la monodie accompagnée par la basse continue, les chœurs madrigalesques et les ritournelles. C'est en 1598 à Mantoue, que Jacopo Peri écrit Dafne, que l'on considère alors comme le premier opéra. Quant au cinéma, remontons au mois d’octobre 1892, où Émile Reynaud présente à Paris, dans le Cabinet fantastique du Musée Grévin, ses Pantomimes lumineuses. Le Théâtre optique d’Émile Reynaud innove considérablement par rapport à Thomas Edison en inaugurant les premières projections de films animés sur grand écran. Ainsi, le Musée Grévin peut s’enorgueillir d’avoir été la première salle de projection de cinéma, trois ans avant les projections des frères Lumière au Salon indien du Grand Café. Le premier jour, seulement trente-trois spectateurs. Le bouche à oreille aidant, en une semaine la file d'attente atteint la rue Caumartin. Les projections se font à guichet fermé et les séances sont doublées, le retentissement de ce succès est mondial.